Du déclin naît la friche, de l’aplanissement émane l’attente, du projet croît l’illusion d’un béton expiatoire.
On ne peut réactiver que par une destruction méthodique : les états se succèdent en ordre déterminé, les totems balisent les friches, le souvenir du lieu se cache dans la fine épaisseur du paysage. De la brume vient la cendre.
Les friches obéissent à une logique cyclique, une mécanique de désincarcération urbaine.
À quel programme centralisateur appartiendraient-elles, peut-on créer une archéologie des zones sans qualités ?
Par OKZK – Nelson Chouissa & Eloi Jacquelin
+ d’informations
Dates : Du 10 au 22 octobre 2019
Lieu : 26 rue Bressigny, 49100 Angers