[Festival de Linselles 2019] Cloé Vié

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BIOGRAPHIE

Je m’appelle Cloé, j’ai 19 et j’ai commencé la photographie « réellement » avec un reflex en 2014 grâce à mon voisin Dédé lui-même passionné par la photographie, à l’époque membre du club photo Vincennes Images. Ce club m’a permis d’apprendre les bases et de confronter mon travail aux autres membres, également découvrir des univers. J’ai commencé mon premier festival en 2016 : le VIF, il y avait également un concours à ce même moment à Vincennes et j’ai gagné le prix des jeunes photographes. Puis en 2017 j’ai participé au festival Street Photo à St Raphael, j’ai eu la chance de gagner le prix des commerçants. En 2016 j’ai également exposée dans un théâtre dans le 94 et en avril 2018 j’ai exposé dans le Bam Karaoké Box sur Paris et entre temps j’ai participé́ à quelques concours notamment le concours en ligne d’ALCOVE (j’ai gagné une petite galerie de 5 de mes photos sur leurs site). Je devrais également être publiée dans le CORRIDOR ELEPHANT cette année.

Crédit photo : Cloé Vié
EN QUETE DE SENS

J’ai souhaité jouer avec la dualité mouvement/immobilité : la temporalité, avec la direction dans un univers, dans une architecture et la place de l’humain dans ces espaces. La lumière et les contrastes soulignent des univers différents : Présent, Passé, futur qui s’entrechoquent, se croisent, se superposent.
Nous imaginons ce que nous voulons et à chacun d’entre nous de l’interpréter comme il le souhaite, à chacun de trouver un sens.
Le photographe ouvre sur un univers, cherche à toucher et à mobiliser la créativité de l’observateur à lui d’y ajouter ses propres couleurs, de créer son propre univers.
Cette série n’est pas le fruit de divers montages mais celui de multiexpositions mettant en avant cette idée de flux de l’Homme, de mouvements qu’ils soient par l’Homme (les bâtiments) ou encore de l’Homme (vélo, déplacements vers le travail) mais également cette idée de flux fantômes c’est-à-dire beaucoup de mouvements, de vagues et d’air mais peu de fond, beaucoup de formes. La société évolue autant physiquement que mentalement : c’est cette évolution, cette mutation que j’essaye de mettre à jour, cette masse humaine.

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